
4ème de couverture
Laura Frost, 35 ans, agente spéciale du FBI et mère célibataire, est hantée par son talent : une faculté psychique qu’elle refuse d’affronter et qu’elle garde secrète pour ses collègues.
Pourtant, bien que Laura veuille être normale, elle ne peut interrompre le flot d’images qui la tourmente à chaque instant. Des flashbacks très précis. Des cauchemars de tueurs et de leurs victimes.
Et des aperçus de ce qu’un tueur pourrait faire ensuite.
Le talent de Laura l’amène à fouailler profond – trop profond – dans l’esprit tordu des tueurs en série. Et pourtant, il l’empêche terriblement de distinguer les détails les plus importants.
Cela l’amènera-t-il à attraper un tueur ? À sauver la prochaine victime à temps ?
Ou cela l’entraînera-t-elle dans la confusion, le mépris, des impasses et, finalement, vers sa propre destruction ?
Mon avis
Quand on lit une telle critique, avouez que ça donne envie :
« UN CHEF-D’ŒUVRE DU THRILLER ET DU MYSTÈRE. Blake Pierce a fait un travail magnifique de développement des personnages avec une psychologie si bien décrite que nous ressentons ce qu’ils ressentent, éprouvons leurs peurs et applaudissons leur succès. Plein de rebondissements, ce livre vous tiendra éveillé jusqu’à la dernière page ».
–Roberto Mattos, Books and Movie Review (pour Sans laisser de traces)
Et pourtant, quelle déception !
Laura, l’agent du FBI, a des visions. Ca aide clairement pour faire ce boulot… Ce n’est pas trop ma tasse de thé mais je ne juge pas, il en faut pour tous les goûts.
Par contre, là où ça coince vraiment, c’est au niveau du nombre de fautes. Une concordance des temps catastrophique, des expressions telles que « en dépit de » qui deviennent « en débit de », ou encore « Elle décision lui était insupportable » et j’en passe…
Bref, je n’ai pas réussi à lire plus d’une centaine de pages et c’est sans regret que j’ai abandonné la lecture de ce que certains osent appeler un chef-d’oeuvre.